Accélérez le virage vers le soutien à domicile!

Accélérez le virage vers le soutien à domicile!

Réseau de coopération des EÉSAD

PUBLIREPORTAGE

PUBLIREPORTAGE - Au Québec, 95% des aînés vivent dans leur maison, leur appartement ou leur résidence privée. Pourtant, le gouvernement leur consacre moins de 30% des budgets dédiés aux aînés. Leur nombre va continuer d’augmenter rapidement et, sans un urgent virage vers le soutien à domicile, notre système de santé va droit dans le mur.

Grâce aux partenariats entre le réseau public et les entreprises d’économie sociale en aide à domicile (EÉSAD), le Québec s’est doté des services de qualité, mais ils sont devenus insuffisants avec l’inflation et la pénurie de main-d’œuvre.

Le Réseau de coopération des EÉSAD propose des solutions afin de respecter le premier choix des aînés : vivre à la maison.

Bonifier l’accès aux services

En moyenne, un usager à faible revenu ne peut se payer qu’une heure et six minutes de services par semaine avec l’aide financière actuelle : c’est évidemment trop peu en perte d’autonomie. Alors, il faut bonifier le programme d’aide financière de 4,80 $ par heure et y inclure les soins d’assistance personnelle.

Améliorer l’efficacité des services

Les aides à domicile des EÉSAD ont déjà une expertise et une relation de confiance avec leurs usagers. Il faut leur permettre d’en faire plus, au lieu de multiplier les intervenants. Le réseau public et ses partenaires, à l’échelle nationale et régionale, doivent donc se doter de plans d’action annuels concertés.

Reconnaître la valeur ajoutée de l’économie sociale

Alors que la place du privé en santé occupe le débat, il faut rappeler qu’il y a privé et privé. Les EÉSAD sont exploitées à des fins non lucratives : toute une différence. La protection des usagers et la bienveillance doivent passer au premier plan pour éviter la marchandisation des services aux aînés.

Pour appuyer ces propositions, signez sur chezmoipourlavie.com.

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