Les personnes qui résident en milieu urbain gagneraient à s’installer près de grands espaces verts, révèlent les conclusions d’une étude publiée dans la revue Science Advances.
L’équipe de chercheurs a suivi 900 habitants de quatre villes américaines (Birmingham, Chicago, Minneapolis et Oakland) sur une période de 20 ans pour constater que le fait de vivre près d’un parc contribuait à ralentir le vieillissement cellulaire. Les participants dont la résidence était entourée de 30% de verdure dans un rayon de 5 km étaient en moyenne deux années et demie plus jeunes biologiquement que ceux dont l’environnement ne comptait que 20% de verdure.
L’autrice principale de l’étude, Kyeezu Kim, de l’Université Northwestern, en Illinois, spécifie toutefois que des facteurs tels que le stress, l’usage du tabac et la qualité des parcs pouvaient atténuer l’importance des bienfaits.
Une autre preuve qu’il faut adopter de saines habitudes de vie... et bien choisir son quartier!
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