Dans vos mots: Quel est le meilleur livre que vous ayez lu?

Dans vos mots: Quel est le meilleur livre que vous ayez lu?

Par Bel Âge

Crédit photo: iStock

Tout le bleu du ciel, de Mélissa Da Costa, 2020.

J’ai lu ce livre au moment où je prenais ma retraite. Cette histoire nous fait voyager et nous invite à la réflexion; elle nous fait comprendre ce qu’est le moment présent. On y trouve de belles pensées. On rit, on pleure et on réfléchit. Quelque mois après l’avoir lu, j’ai commencé à travailler à temps partiel chez un grand libraire, car l’ennui se faisait sentir. J’ai suggéré ce livre à des centaines de personnes, en plus de prêter mon exemplaire dans mon entourage.
Lynda Cliche, Lévis

Encore de l’espoir pour les mal-aimés, de Yolande Vigeant, 2002.

Je suis tombée sur ce livre dans une période de grand questionnement. Quelle révélation! Au fil des chapitres, de réflexions en prises de conscience, j’ai trouvé l’apaisement. Je conserve ce livre précieusement. Toutes les fois où je pose mon regard sur lui, je ressens une immense gratitude.
Francine Ranger, Sainte-Catherine

Au nom de tous les miens, de Martin Gray et Max Gallo, 1971.

Un récit autobiographique extraordinaire qui exprime la résilience, la résistance, l’acceptation. Je l’ai relu une deuxième fois il y a quelques années et, juste à y penser, mon cœur se serre et je suis pleine d’admiration pour ce héros. J’ai d’ailleurs envie de le relire encore une fois…
Françoise Thibodeau, Laval

Kukum, de Michel Jean, 2019.

Ce livre est empreint d’acceptabilité et de tolérance. Il nous ramène dans les traditions ancestrales d’un peuple autochtone. Il nous fait profondément réfléchir sur les différences des cultures et sur notre devoir de se parler et de s’écouter. La fin de ce récit est percutante et m’a profondément touchée.
Danielle Walsh, Candiac.

La mort est un nouveau soleil, d’Elisabeth Kübler-Ross, 1990.

J’ai dévoré ce bouquin quand mon père est décédé. C’est une amie qui me l’avait suggéré. Ce livre est court, mais intense, et il est accessible à tous. C'est comme un baume sur notre peine. L’autrice nous enseigne que la mort est riche en leçons de vie. Bref, à relire aussi souvent que le besoin de réconfort se fait sentir.
Louise Bussières

La diaspora des Desrosiers, de Michel Tremblay, 2017.

J’ai lu les 9 tomes. Je pense encore à tous ces personnages auxquels je m’étais attachée: Nana, Édouard, Loulou (la Louve d’Ottawa), etc. J’étais triste quand j’ai tourné la dernière page.
Christine Bertrand

Le Choc amoureux, de Francesco Alberoni, 2018.

Il a été très opportun après mon divorce. La description des premiers émois amoureux par l’auteur était d’une justesse incroyable et m’a redonné espoir en l’amour.
Mariette Allard

Chute libre, de T.J. Newman, 2022.  

Un roman policier qui m’a tenue en haleine. À chaque page, quelque chose survient. Frissons garantis!
Renée Bonnin-Labat, Gatineau

La fabrication de l’aube, de Jean-François Beauchemin, 2016.

Toute l’expression de la vie dans un parcours où la mort rôde, où la poésie sublime la douleur dans la douceur.
Caroline T, Québec

Suivez votre cœur jusqu’à votre essence véritable, de John P. Strelecky, 2018.

Il ne contient que 117 pages, mais ses mots sont si précieux. Ce sont ceux qui viennent du cœur. Dès les premières phrases, nous sommes engagés dans la lecture. Il est précieux parce qu’il a été sur la table de chevet de mon frère, qui était aux soins palliatifs dans un centre de fin de vie. Je sais que ce livre l’a aidé à traverser de l’autre côté, là où personne ne sait ce qu’il y a. Mon frère y a d’ailleurs surligné plusieurs phrases. C’est comme un fil du cœur pour moi. Relire les phrases en jaune fluo me fait du bien.
Line Desgagné

Ma Crohn de vie, de Stomie Busy (Juliette Mercier), 2021.

Vivre avec la maladie de Crohn, c'est un parcours d'acceptation de ses gènes d'immunité non normatifs. Ce roman graphique se dévore! On se reconnaît dans le personnage principal. Il est à la fois ludique pour les jeunes et intime pour la communauté atteinte. Daphné Labelle, Saint-Nazaire-d'Acton

Les mots du silence, de Osho Rajneesh, 1994.

Ce n'est pas un roman, mais une série de 365 paroles de silence pour être chaque jour en harmonie avec soi-même et se dissoudre dans l'infinie beauté de l'existence. Un rayon de lumière qui vous invite à célébrer la vie.
Denyse Pinsonneault, Wentworth-Nord

Un abri de fortune, d’Agnès Ledig, 2023.

Je le recommande à tous. Il est distrayant, humain et touche à plusieurs enjeux sociaux d’actualité.
Nicole Lavoie, Lorraine

Les Miracles de la pensée, d’Orison-Swett Marden, 1984.

Je l’ai acheté il y a 50 ans et je lis encore des passages lorsque je me sens nostalgique ou triste. J'aime les livres de psychologie qui m'apportent la paix, la sérénité et de bons conseils positifs pour vivre mieux.
Rose-Irène Lemay, Mascouche

Journal d’un corps, de Daniel Pennac, 2014.

Il s’agit d’une chronique qui s’étale sur une vie complète. Ce corps avec ses envies, ses besoins et ses émotions. Celui d’un homme ordinaire et heureux. Des réflexions intimes sur lui-même. J’ai adoré!
Ninon Pomerleau

Kane et Abel, de Jeffrey Archer, 1999.

Ce livre est un coup de cœur. L’histoire est touchante, humaine, et parle d’amour et de haine. De la première à la dernière phrase, on reste accroché!
Odette Tremblay, Cap-Rouge

La trilogie Le goût du bonheur, de Marie Laberge, 2001.

Gabrielle, Adélaïde et Florent, je les ai lus deux fois déjà et les relirai encore. C'est d’ailleurs la série que j'apporterais si je devais habiter sur une île déserte!
Lucille Caron

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