Plusieurs possibilités s’offrent aux caravaniers. En voici quatre.
1. Les parcs nationaux et les campings privés ou municipaux
C’est payant (environ 25 à 60 $ par nuit), mais on peut avoir accès à divers services et commodités. À vérifier, cependant, quels sont les services proposés : par exemple, la présence d’une station de vidange n’est pas systématique.
2. Les réseaux des producteurs agricoles, dont les fermes, vignobles et vergers
Ils offrent le stationnement contre un abonnement annuel de 50 à 100 $. Le site terego.ca recense des offres majoritairement au Québec.
3. Les haltes et les terrains de stationnement
Certaines haltes municipales, gratuites ou payantes, sont dédiées aux véhicules récréatifs. Pour connaître les règlements, il suffit de consulter le site internet des municipalités visées. À vérifier aussi qu’il ne s’agit pas d’une halte routière du ministère des Transports du Québec, où le stationnement nocturne est interdit, à moins d’être un camionneur. Ou encore d’une simple halte routière, qui parfois limite le stationnement à une durée de quatre heures.
Plusieurs endroits privés acceptent la présence de VR la nuit sur leur terrain de stationnement, comme les grands magasins, mais mieux vaut s’informer auprès du commerçant pour avoir l’heure juste. Des plateformes comme park4night.com donnent des suggestions d’endroits, payants ou gratuits. Il est plus sage toutefois de faire ses propres vérifications pour s’assurer de l’exactitude de l’information partagée sur ces plateformes.
4. Les rues
Certaines municipalités le tolèrent, mais ailleurs, les contrevenants sont passibles d’une amende. Mieux vaut s’informer auprès de la municipalité ou de l’Office de tourisme, qui pourront, en cas d’interdiction, nous rediriger vers des endroits qui permettent les arrêts nocturnes.
Évidemment, dans tout lieu public, il est important de demeurer discret, de ne pas être bruyant et de laisser l’endroit propre aussi propre qu’à l’arrivée.
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