Quelle relation entretient-on avec notre mascara, nos fards et notre rouge à lèvres? À l’occasion de la Journée sans maquillage, le 6 juin, la question se pose.
Selon de récentes données recueillies par l’organisme ÉquiLibre, qui milite pour une image corporelle positive à tout âge, le tiers des Québécoises et Québécois de 55 ans et plus ne se sentent pas capables de sortir en public si leur apparence n’est pas soignée. Étonnant? Pas vraiment!
C’est d’ailleurs en partant de ce genre de constat que la toute première Journée sans maquillage a été organisée en 2010 afin de remettre en question les diktats de l’industrie de la beauté. Objectif : délaisser le maquillage pendant 24 heures. Parce que se maquiller (ou non!) relève du choix personnel d’abord et avant tout.
Un peu plus d’une décennie plus tard, la cause continue à faire jaser. Envie de pousser la réflexion plus loin? ÉquiLibre propose des pistes grâce à un outil de prise de conscience individuelle.
Dans le contexte, voici justement quelques questions tirées de cette grille d’évaluation afin de réaliser la place que nous accordons à notre apparence au quotidien:
- Est-ce que mon réveil-matin sonnerait à la même heure si je n’avais pas à me coiffer, me maquiller, choisir mes vêtements, etc.?
- Combien de temps est-ce que je passe chaque matin à me coiffer et à me maquiller?
- Durant la journée, est-ce que je prends le temps de me regarder dans le miroir et d’apporter des retouches à mon maquillage et à ma coiffure?
Alors, qu’en est-il chez vous?
Bonjour Bel Âge, j’aime bien me maquiller pour aller au travail. Quelque chose de simple et rapide. Je me suis fais faire un maquillage permanent aux sourcils et à la paupière, donc pas maquillée, ça va aussi. Je suis contente que l’on puisse enfin arborer notre rouge à lèvres.