En été, combien de fois devons-nous mettre au compost une portion de notre barquette de fraises parce que certains fruits sont moisis?
Or, une découverte lavalloise permettrait de mieux conserver les fraises, entre autres aliments, grâce à une molécule issue d’une carapace de crustacé. Associée à des huiles essentielles, notamment d’agrumes, et à des nanoparticules d’argent, cette molécule issue de la carapace de crevette ou de homard retarderait la moisissure des fraises, a découvert Monique Lacroix, spécialiste de l’industrie alimentaire, professeure et chercheuse à l’Institut national de recherche scientifique (INRS), à Laval.
Si cette technologie n’est encore ni répandue ni commercialisée, elle serait l’une des clés de voûte pour réduire le gaspillage alimentaire. À suivre…
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