PUBLIREPORTAGE – Femme très organisée, Manon Giroux (à droite sur la photo) héberge sa mère atteinte d’Alzheimer et sa tante qui vit avec une déficience intellectuelle profonde. Avant la pandémie de COVID-19, un service de gardiennage à domicile lui permettait d’exercer sa profession d’infirmière auxiliaire et de s’adonner au hockey.
Lorsque le couperet est tombé, en mars 2020, elle a dû prendre une année sabbatique, puis devancer l’heure de sa retraite. Le rôle des proches aidants est crucial pour les aidés et pour notre société. Le poids de la tâche peut fragiliser ces personnes dévouées et le répit devient essentiel.
C’est là que des organismes comme ceux financés par la Fondation de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FFMSQ) peuvent faire une différence en accordant du répit.
Les conseils de Manon Giroux
Manon Giroux recommande aux proches aidants de faire des activités de bienveillance envers eux-mêmes et leur donne un précieux conseil : «Il faut se donner le droit de pleurer et d’être vulnérable, mais, surtout, ne pas hésiter à parler à son entourage lorsque survient un moment de découragement.» Elle-même se réserve du «temps non négociable» afin d’éviter l’épuisement. C’est ainsi qu’elle participe à des ateliers d’art-thérapie, s’offre des week-ends de ressourcement, marche dans les bois et fait de la photographie animalière.
Enfin, elle suggère aux proches aidants de se renseigner auprès des organismes qui peuvent leur offrir des moments de répit; elle-même en avait bénéficié avant la pandémie, alors que sa tante était allée dans un camp de vacances offert par un organisme de sa région qui reçoit lui-même du soutien financier de la FFMSQ.
Le 10e anniversaire de la FFMSQ
On peut lire des témoignages de proches aidants et de médecins spécialistes ainsi que des reportages sur les actions de la FFMSQ dans l’édition spéciale d’une publication qui souligne le 10e anniversaire de l’organisme.
Photo: Étienne Boisvert
Je bénévole pour un organisme qui donne du répit en conséquence aux proches aidants.
Bonjour, à la mi-janvier je suis devenue proche aidante de ma sœur. Son conjoint est décédé. Je dois voyager à Montréal et tout lui préparer ses repas, car elle ne cuisine pas. Je lui demande de venir vivre avec moi en banlieue cela m’éviterait la grosse circulation pour aller à MTL. Et ce serait plus facile pour les repas. Besoin de conseils s.v.p.
Merci!
Il y a la Popotte roulante. Ils livrent le dîner ou si voulez le souper pour 8$.
Il y a de la soupe, le manger et 2 tranches de pain pour 8$. Moi j ai le service depuis 1 an et j’aime le tout. C’est juste que je n’aime pas le poisson, alors ils font une substitution.