PUBLIREPORTAGE – Je vais toujours me rappeler de mon premier séjour à l’hôpital. Je n’avais jamais vu une aile psychiatrique de ma vie. Quand les portes barrées à clé se sont refermées derrière moi, j’ai compris l’ampleur de ma situation.
J’ai toujours été une femme performante et athlétique; j’étais le modèle de la première de classe destinée au succès. Quand j’ai souffert de mes premiers épisodes psychotiques, j’ai eu l’impression que ma vie s’écroulait devant moi. Malheureusement, j’ai longtemps refusé d’admettre ce qui m’arrivait et de confronter le trouble schizo-affectif dont je suis atteinte.
Je suis chanceuse car mes parents m’ont aidée dans mon processus de rétablissement. Malgré tout, après un certain temps, j’ai senti qu’ils ont fait le deuil de leur fille telle qu’ils l’avaient connue. Il n’en fallait pas plus pour que j’arrête de m’enfoncer dans cette période d’errance. C’est à ce moment que j’ai décidé que mon histoire ne se terminerait pas comme ça.
Heureusement, le soutien offert aux personnes affectées par un trouble schizo-affectif est plus robuste que jamais. L’espoir existe à travers la découverte de nouveaux traitements et de meilleurs remèdes qui apaisent la souffrance des gens partout à travers la province.
C’est pourquoi il est si important de soutenir la recherche et les meilleurs soins des experts en santé mentale à l’Institut Douglas. Votre générosité contribue à bâtir l’espoir pour les personnes en détresse et nous permet de trouver les meilleures approches possibles pour qu’ils puissent retourner à une vie normale.
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