La plongeuse médaillée olympique, autrice et conférencière adore la montagne et l’océan.
1. Photo préférée dans son cellulaire
Avec Elia et William, les enfants de ma deuxième, Annabelle, dans la piscine. Ils habitent à moins d’un kilomètre de chez nous. C’est un bonheur de les voir grandir.
2. Un indispensable
Ma corde à danser. Elle me suit partout. C’est mon échauffement de prédilection. Même dans mes conférences, je saute à la corde!
3. Une destination voyage
J’aime la côte Ouest américaine, pour ses montagnes à gravir et les grandes marches sur le bord de l’océan. Nous y avons aussi de la famille.
4. Son endroit préféré au Québec
Partout où il y a de la nature et de l’eau. Le mont Sainte-Anne est mon terrain de jeu, ainsi que Saint-Ferréol- les-Neiges, pour le ski de fond.
5. Une personne inspirante
Ma mère, qui a 91 ans et qui est l’incarnation de la résilience et de la bonté. Elle a élevé cinq enfants, travaillé comme infirmière en psychiatrie et gardé son sens de l’humour malgré tous les défis qu’elle a surmontés. Pas besoin de chercher plus loin ! C’est une cuisinière extraordinaire, qui écoutait Ricardo tous les matins et lui parlait à travers sa télé! Je lui ai donc fait la surprise de l’amener à son émission quand j’y ai été invitée.
6. Une lecture marquante
Deux livres en lien avec mon travail et, surtout, ma passion d’accompagner les gens pour adopter et maintenir de bonnes habitudes de vie. Il s’agit d’Un cœur pour la vie, du Dr Martin Juneau, et de Pourquoi nous dormons, du Dr Matthew Walker, qui porte sur un sujet essentiel dont on ne parle pas assez.
7. Une cause importante
Le programme Nager pour survivre, de la Société de sauvetage, dont je suis la marraine d’honneur à la mémoire de mon neveu Raphaël, mort noyé. C’est aussi pour lui que j’ai écrit Le jour où je n’ai pas pu plonger. Le documentaire du même titre est encore diffusé sur ICI TOU. TV. Cette cause va me suivre toute ma vie.
8. Un souvenir précieux
Les Jeux de 2008 à Pékin, notre premier grand voyage en famille. J’y étais cheffe de mission pour la délégation canadienne, et mes trois filles, alors âgées de 13, 15 et 17 ans, ont pu vivre l’expérience olympique.
9. Une adresse gourmande
Le Café de la Gare, à Rosemère, où je demeure, pour son menu varié et son ambiance propice aux rencontres.
10. Un objet fétiche
Un encadrement que mon mari a fait faire, longtemps après les Jeux olympiques de 1984, de mon maillot, qu’il a trouvé au fond d’un tiroir, et de ma médaille d’or.
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