«On ne peut pas plaire à tout le monde.»
Il y aura toujours des gens avec qui les vibrations ne seront pas à notre diapason. Il faut donc demeurer dans le calme et le respect. Il est préférable de vivre pleinement et dans l’harmonie plutôt que de tenter de fuir l’adversité.
Marie-Josée Gingras, Québec
«Adapte-toi à ta monture!»
Ces mots proviennent de ma mère, une femme hors du commun, qui était résiliente, avant-gardiste et en plein contrôle de sa vie. Elle m’a toujours conseillé de m’acclimater aux changements psychologiques et physiques. Elle me disait : « Ne pleure pas tes pertes et profite de ce qui te reste. » C’est ce que je fais tous les jours.
Louise Baillargeon, Boucherville
«Donne ce que tu as.»
Ma mère m’avait répondu cela après que je lui ai exprimé ma contrainte de recevoir de la visite impromptue. Plus jeune, j’étais moins expérimentée en cuisine et je n’habitais pas près d’un resto rapide. Il y avait peu d’endroits où je pouvais me dépanner rapidement. Sa parole a changé ma perspective. Maintenant, quand j’ai des visiteurs imprévus, je donne ce que j’ai, même s’il s’agit de restants. Quand c’est donné avec le cœur, tout est bon.
Nicole Caron, Cookshire-Eaton
«Vous n’êtes pas responsables de nos choix.»
Une amie et moi parlions des inquiétudes liées à nos enfants et du sentiment de culpabilité que l’on éprouve parfois dans certaines situations. Mon fils, fin vingtaine à ce moment-là, s’est joint à notre conversation et a dit: «Maman, pourquoi ramener à toi ce qui nous arrive? Vous nous avez donné le meilleur sur le plan de l’éducation. On est maintenant des adultes. Les choix qu’on fait sont les nôtres. Vous n’en êtes pas responsables.» Merci, Max!
Chantal Nault, Plessiville
«Profite de ton argent pendant que tu es sur la Terre, car tu ne l’apporteras pas de l’autre côté.»
Ces propos sont de ma sœur, car toutes les fois où je pensais faire une dépense, je me posais toujours la question : ‟est-ce que cet achat va me rendre plus heureuse?ˮ Si la réponse était non, je ne l’achetais pas. Depuis la mort de ma sœur, je ne me questionne plus et je me gâte avec l’argent que j’ai accumulé au cours des années précédant ma retraite.
France Rioux, Lévis
«Pas d’excès dans rien!»
C’est ce que répétait ma chère maman, Thérèse, qui était un modèle de sagesse et de dévouement pour ses 11 enfants. Elle avait une écoute attentive et ne donnait que très rarement des conseils. Sa bienveillance et ses actes étaient plus éloquents ! J’ai suivi sa recommandation et je me suis toujours sentie comblée.
Lise Dubuc, St-Aimé-du-Lac-des-Îles
«Aujourd’hui est le dernier jour de ta vie.»
En 1989, une gentille voisine habitant sur la rue Nérée-Tremblay, à Sainte-Foy, avait remarqué mon chagrin et m’avait offert un carton sur lequel était écrite cette pensée. Celle-ci est restée gravée dans ma mémoire; je la répète dans mon quotidien et ça me fait du bien.
Marie-France Leclerc, Québec
«Cueillir les roses de la vie.»
Il s’agit d’un exercice mental à pratiquer tous les jours pour rencontrer le bonheur. Le matin, au réveil, on doit nommer trois choses qu’on a aimé vivre avec nos proches, puis, le soir, en se mettant au lit, on pense à trois choses qu’on est fier d’avoir réalisé durant la journée.
Marie-Louise Lagarde, Dollard-des-Ormeaux
«Avance-toi pour changer de voie.»
André, mon conjoint de l’époque, m’avait conseillé d’avancer légèrement le haut du corps et de regarder attentivement dans les deux miroirs latéraux avant chaque changement de voie. Comme ça, j’étais certaine qu’il n’y avait pas d’obstacle dans les angles morts sur la route.
Renée Lussier, Longueuil
Bonjour Mon conseil qui m’a été donner prend le temps d’apprécier la vie J’aime bien votre revue joyeuses fêtes