Pour faire honneur à l’été, voici 16 romans, dont quelques nouveautés, à lire à la plage comme dans le hamac.
L’or des rivières
Dans ce récit autobiographique, la femme de lettres Françoise Chandernagor remonte le fil du temps pour nous parler de la Creuse, le coin de pays qui l‘a façonnée. Promis, ça donne envie d’y aller!
Françoise Chandernagor, Éditions Gallimard (304 p., 39,95$ ou 24,99$ en version numérique).
Il ne se passe jamais rien ici
Fanny, la plus jolie fille d’un village des environs d’Annecy, est retrouvée assassinée. À tour de rôle, les habitants s’exprimeront ensuite à ce sujet. Un roman choral magistral. Notre coup de cœur de l’été.
Olivier Adam, Éditions Flammarion (368 p., 39,95$ ou 26,99$ en version numérique).
Le nid du coucou
Fjällbacka, en Suède, est loin d’être une tranquille petite ville de carte postale. La preuve, deux nouveaux événements terriblement violents vont y avoir lieu. Un bouquin impossible à lâcher.
Camilla Läckberg, Éditions Actes Sud (432 p., 42,95$ ou 26,99$ en version numérique).
La trilogie Bevelstoke
Après les Bridgerton, place aux Bevelstoke ! Dans ce premier tome, on va voir tout ce que la jeune Miranda sera prête à faire pour attendrir le cœur endurci du vicomte Turner. Un bonheur de lecture.
Julia Quinn, Éditions Flammarion Québec (320 p., 26,95$ ou 19,99$ en version numérique).
La canicule des pauvres
Il faut vivre à Montréal pour savoir à quel point l’été, la ville peut se transformer en fournaise. Alors qu’il fait chaud à mourir, on pourra s’abriter du soleil dans un immeuble de bas étage du Quartier latin. Mais une fois là-dedans, il faudra vraiment s’attendre à tout, car ses locataires sont loin d’être des anges. À la fois trash et rafraîchissant.
Jean-Simon DesRochers, Éditions du Boréal (656 p., 24,95$ ou 18,99$ en version numérique).
L’été où tout a fondu
Durant l’été 1984, le procureur d’une petite ville de l’Ohio aura la curieuse
idée de publier une annonce dans laquelle il priera le diable en personne de venir lui rendre visite. Coïncidence? Dès le lendemain, un jeune Noir aux yeux d’un vert incroyable se pointera, amenant avec lui une chaleur infernale. Un roman carrément divin.
Tiffany McDaniel, Éditions Gallmeister (464 p., 23,95$ ou 19,99$ en version numérique).
Malentendues
Direction la Tunisie, où cogne un soleil de plomb. Avocate dans la capitale, Emna a été chargée par l’Union européenne de se rendre dans un village de l’île de Djerba pour y évaluer la situation des femmes, apparemment loin d’être jojo. Mais dans la touffeur de l’endroit, Emna aura bien du mal à garder la tête froide. En partie à cause d’un homme qui n’a rien à voir avec son mari… Chaudement recommandé!
Azza Filali, Éditions Elyzad (328 p., 44,95$). 19,99$ en version numérique).
Canicule
S’ilyauncoindela planète où il fait chaud, c’est bien à Kiewarra, dans le sud-est de l’Australie. Les fermiers n’en peuvent plus et l’un d’eux, Luke Hadler, ira même jusqu’à éliminer femme et fils avant de se supprimer. Sauf qu’en venant assister aux funérailles, l’ami d’enfance de Luke ne tardera pas à comprendre que ce drame pourrait bien être lié à une sombre affaire du passé. Un bestseller qui a été adapté au ciné en 2020.
Jane Harper, Éditions Le livre de poche (448 p., 16,95$ ou 14,99$ en version numérique).
Carolyn et John
John F. Kennedy Jr. et sa femme Carolyn avaient tout pour être heureux. Et pourtant, bien avant que leur avion privé s’écrase, leur couple avait commencé à battre de l’aile. Cette bio romancée raconte des pans de leur histoire.
Stéphanie Des Horts, Éditions Albin Michel (275 p., 34,95$ ou 23,99$ en version numérique).
Le soleil des Scorta
C’est sous le soleil brûlant des Pouilles que se déroule
cette superbe saga familiale qui a remporté plusieurs prix, dont le Goncourt et celui du jury Jean-Giono. Même si on l’a lue il y a déjà 20 ans, cette histoire nous hante toujours, la destinée des Scorta faisant partie de celles qui ne s’oublient pas.
Laurent Gaudé, Éditions J’ai lu (256 p., 10,95$ ou 12,99$ en version numérique).
Ça peut pas être pire…
Quand ça va mal, ça va mal, et Valéry Aubé est là pour en témoigner. En plus
de perdre son boulot, son ventilateur et son frigo vont la lâcher alors qu’il fait plus de 30 dehors. La solution? Louer un chalet (sans toilettes) au bord du lac Memphrémagog pour se ressourcer. Sauf que, bien sûr, rien ne se passera comme prévu. Une chick lit parfaite pour les vacances.
Nathalie Roy, Éditions Stanké (336 p., 14,95$ ou 14,99$ en version numérique).
Chaleur
On aime bien les romans de Joseph Incardona, car toujours ils surprennent. Ici, point de canicule mais un championnat du monde de sauna, qui se tient chaque année à Heinola, en Finlande. Les règles sont simples : celui qui reste le plus longtemps dans une cabine chauffée à 110 degrés gagne. Et cette année, deux concurrents sont bien décidés à l’emporter, même si ça ne rime absolument à rien. Très bon!
Joseph Incardona, Éditions Pocket (160 p., 11,95$ ou 9,99$ en version numérique).
L’étoile du diable
Après la Finlande, la Norvège. Où, comme au Québec, le mercure peut grimper très haut durant l’été. Il semblerait d’ailleurs que toute cette chaleur soit montée à la tête de quelqu’un puisqu’une vague de meurtres a commencé à frapper Oslo. La mauvaise nouvelle, c’est que Harry Hole a replongé dans l’alcool. La bonne, c’est qu’on lui confiera quand même l’enquête. Un super Nesbø.
Jo Nesbø, Éditions Folio (592 p., 19,95$ ou 16,99$ en version numérique).
Juillet
En ce jour de grande chaleur, probablement le plus torride de juillet, tout le monde s’est réuni pour célébrer les 65 ans de Charlotte, la matriarche du clan. Une fête en famille qui aurait pu être très chouette si Simon, le mari de Charlotte, n’avait pas été amoureux de sa belle-fille Catherine… Ça a été le premier roman de Marie Laberge, et il est toujours aussi bon.
Marie Laberge, Éditions Québec Amérique (232 p., 12,95$).
L’Étranger
Dans ce grand, grand classique de la littérature, la chaleur est écrasante. D’ailleurs, sans ce soleil aussi ardent qu’aveuglant, son héros n’aurait probablement abattu personne et aurait échappé à la cour d’assises. Si ce n’est pas déjà fait, à lire sans faute.
Albert Camus, Éditions Folio (192 p., 12,95$ ou 12,99$ en version numérique).
Le Garage Rose, tome 2
Avec ce deuxième tome, on retourne dans le Maskinongé des années 1950 auprès de Julienne, Constance et Marie-Belle. Une bonne saga familiale signée par une maîtresse du genre.
France Lorrain, Éditions Saint-Jean (400 p., 27,95$ ou 21,99$ en version numérique).
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