Manger du poisson pourrait protéger le cerveau des effets néfastes de la pollution!
C’est ce qu’ont découvert des chercheurs de l’Académie américaine de neurologie en étudiant la consommation de poisson (grillé, cuit au four et en conserve) chez les femmes de 65 à 80 ans.
Ainsi, ils ont pu démontrer que celles qui affichaient les niveaux sanguins d’oméga-3 les plus élevés avaient un volume de matière blanche (impliquée dans la transmission de l’information) et d’hippocampe (qui joue un rôle au niveau de la mémoire et de la navigation spatiale) considérablement plus élevé que celles présentant des niveaux les plus bas.
Les oméga-3 d’origine marine pourraient préserver le volume cérébral des femmes vieillissantes et possiblement protéger contre l’effet toxique de la pollution.
Bien que l’hypothèse reste à confirmer, tous les experts en nutrition recommandent déjà de consommer du poisson au moins deux fois par semaine.
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